ACTUALITÉS
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Levée des sanctions contre le Mali: « encore des zones grises », selon le président Nigérian
Le président du Nigeria Muhammadu Buhari a estimé lundi qu’il existait encore des « zones grises » à éclaircir au Mali, notamment…
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Pas d’emploi sans 5 à 10 ans d’expériences dans un pays ou trouver un simple stage est un parcours de combattant.
Au Mali le défi à relever en matière d’emploi est d’autant plus préoccupant en milieu urbain, où seuls 35 %…
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Sortie de crise au Mali : Baba Nadio demande la libération de Moussa Timbiné et autres détenus à Kati
Pour obtenir la libération de Moussa Timbiné, ex-président de l’hémicycle, Baba Nadio, candidat malheureux aux élections législatives dernières en commune…
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Accusée de « coups mortels » contre co-orpailleuse Kankou Traoré depuis 2019 : Minata Sidibé a été acquittée la semaine dernière
Elle s’appelle Minata Sidibé. Elle est orpailleuse à Dabanani-Banancoro dans commune rurale de Nouga. Elle a été accusée d’avoir donné…
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Formation du gouvernement de la transition : Me Malick Coulibaly n’a pas été contacté par le CNSP
Depuis hier, une information selon laquelle l’ancien ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Me Malick Coulibaly, aurait…
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Coup de tonnerre à Kati : Malick Coulibaly désiste à l’appel du CNSP
La mise en place du gouvernement est accélérée depuis la désignation du Premier Ministre Moctar Ouane. Dans la forme, il…
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Transition au Mali : Les défis qui attendent le Premier ministre Moctar Ouane
Après prestation de serment du président et du vice-président de la transition , le 25 septembre 2020, le Premier Ministre…
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Lettre ouverte au CNSP, à la Transition et au peuple du Mali.
Arrêter un président de la République est un événement historique, un acte lourd. Et pourtant !En cette journée du 18…
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Les Rapports du BVG mis en cause : Des irrégularités constatées dans le rapport final
Depuis quelques jours, les rapports de l’exercice 2016, 2017, 2018 et 2019 du Bureau du vérificateur général font l’objet de…
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Primature : Moctar Ouane face à des prédateurs politiquesQuelques heures seulement après sa nomination par le Président de la transition à la tête de la primature, Monsieur Moctar Ouane fait l’objet d’une véritable campagne de dénigrement par des politiques. Ils veulent l’abattre à tout prix. S’il y a une chose en laquelle le Malien est spécialiste, c’est le dénigrement gratuit de son prochain. En un mot, jouer au « Bagnengo ». L’on pensait qu’après le pouvoir d’IBK, ces vieilles habitudes allaient être définitivement enterrées. Loin s’en faut. Moctar Ouane paie de nos jours les frais de ce comportement abominable. Quelques heures seulement après sa nomination comme premier ministre, le voilà cible d’une véritable campagne des prédateurs politiques. Son parcours administratif est mentionné, depuis le temps de Moussa Traoré. Ils évoquent sa probable connexion avec la France ; ils étalent sur les réseaux sociaux une partie d’un rapport du Vérificateur Général en date de 2010 faisant mention d’irrégularité au département des affaire étrangères dont il assurait la destinée. Moctar Oaune est un cadre dont les compétences sont avérées par l’Afrique et par-delà le monde entier. Apolitique, c’est son parcours presque sans faute qui lui a souri aujourd’hui. Alors qu’est ce qui explique une telle cabale à son encontre et le plus épatent de la part de certains membres influents du mouvement M5 RFP ? Au sein du M5 RFP, ils étaient au total 14 à postuler au poste de Premier ministre. C’est cela qui a montré au finish la mésentente profonde au sein du mouvement et leur goût à la limite arriviste. Cette remarque a été profitable au diplomate. Alors si réellement le combat était uniquement pour le Mali comme ils aimaient le brandir lorsqu’ils étaient dans les rues pour le départ d’IBK, ils ne doivent pas aujourd’hui s’opposer au choix ‘’judicieux’’ d’un cadre malien avec lequel ils étaient dans la course pour la primature. Le Mali souffre et son rétablissement est conditionné à la réussite de cette transition. Au lieu de chercher à détruire parce que le choix ne s’est pas porté sur X ou Y du M5, l’heure est à l’union. Nul n’est parfait. Chacun a un passage sombre dans son parcours. Le temps n’est pas à la recherche d’un homme idéal, mais quelqu’un qui bénéficie de la confiance des partenaires et dont les relations peuvent permettre au Mali de sortir de cette transition sans turbulence tout en installant dans 18 mois des autorités issues des élections transparentes. Kèlètigui DaniokoQuelques heures seulement après sa nomination par le Président de la transition à la tête de la primature, Monsieur Moctar Ouane fait l’objet d’une véritable campagne de dénigrement par des politiques. Ils veulent l’abattre à tout prix. S’il y a une chose en laquelle le Malien est spécialiste, c’est le dénigrement gratuit de son prochain. En un mot, jouer au « Bagnengo ». L’on pensait qu’après le pouvoir d’IBK, ces vieilles habitudes allaient être définitivement enterrées. Loin s’en faut. Moctar Ouane paie de nos jours les frais de ce comportement abominable. Quelques heures seulement après sa nomination comme premier ministre, le voilà cible d’une véritable campagne des prédateurs politiques. Son parcours administratif est mentionné, depuis le temps de Moussa Traoré. Ils évoquent sa probable connexion avec la France ; ils étalent sur les réseaux sociaux une partie d’un rapport du Vérificateur Général en date de 2010 faisant mention d’irrégularité au département des affaire étrangères dont il assurait la destinée. Moctar Oaune est un cadre dont les compétences sont avérées par l’Afrique et par-delà le monde entier. Apolitique, c’est son parcours presque sans faute qui lui a souri aujourd’hui. Alors qu’est ce qui explique une telle cabale à son encontre et le plus épatent de la part de certains membres influents du mouvement M5 RFP ? Au sein du M5 RFP, ils étaient au total 14 à postuler au poste de Premier ministre. C’est cela qui a montré au finish la mésentente profonde au sein du mouvement et leur goût à la limite arriviste. Cette remarque a été profitable au diplomate. Alors si réellement le combat était uniquement pour le Mali comme ils aimaient le brandir lorsqu’ils étaient dans les rues pour le départ d’IBK, ils ne doivent pas aujourd’hui s’opposer au choix ‘’judicieux’’ d’un cadre malien avec lequel ils étaient dans la course pour la primature. Le Mali souffre et son rétablissement est conditionné à la réussite de cette transition. Au lieu de chercher à détruire parce que le choix ne s’est pas porté sur X ou Y du M5, l’heure est à l’union. Nul n’est parfait. Chacun a un passage sombre dans son parcours. Le temps n’est pas à la recherche d’un homme idéal, mais quelqu’un qui bénéficie de la confiance des partenaires et dont les relations peuvent permettre au Mali de sortir de cette transition sans turbulence tout en installant dans 18 mois des autorités issues des élections transparentes. Kèlètigui DaniokoQuelques heures seulement après sa nomination par le Président de la transition à la tête de la primature, Monsieur Moctar Ouane fait l’objet d’une véritable campagne de dénigrement par des politiques. Ils veulent l’abattre à tout prix. S’il y a une chose en laquelle le Malien est spécialiste, c’est le dénigrement gratuit de son prochain. En un mot, jouer au « Bagnengo ». L’on pensait qu’après le pouvoir d’IBK, ces vieilles habitudes allaient être définitivement enterrées. Loin s’en faut. Moctar Ouane paie de nos jours les frais de ce comportement abominable. Quelques heures seulement après sa nomination comme premier ministre, le voilà cible d’une véritable campagne des prédateurs politiques. Son parcours administratif est mentionné, depuis le temps de Moussa Traoré. Ils évoquent sa probable connexion avec la France ; ils étalent sur les réseaux sociaux une partie d’un rapport du Vérificateur Général en date de 2010 faisant mention d’irrégularité au département des affaire étrangères dont il assurait la destinée. Moctar Oaune est un cadre dont les compétences sont avérées par l’Afrique et par-delà le monde entier. Apolitique, c’est son parcours presque sans faute qui lui a souri aujourd’hui. Alors qu’est ce qui explique une telle cabale à son encontre et le plus épatent de la part de certains membres influents du mouvement M5 RFP ? Au sein du M5 RFP, ils étaient au total 14 à postuler au poste de Premier ministre. C’est cela qui a montré au finish la mésentente profonde au sein du mouvement et leur goût à la limite arriviste. Cette remarque a été profitable au diplomate. Alors si réellement le combat était uniquement pour le Mali comme ils aimaient le brandir lorsqu’ils étaient dans les rues pour le départ d’IBK, ils ne doivent pas aujourd’hui s’opposer au choix ‘’judicieux’’ d’un cadre malien avec lequel ils étaient dans la course pour la primature. Le Mali souffre et son rétablissement est conditionné à la réussite de cette transition. Au lieu de chercher à détruire parce que le choix ne s’est pas porté sur X ou Y du M5, l’heure est à l’union. Nul n’est parfait. Chacun a un passage sombre dans son parcours. Le temps n’est pas à la recherche d’un homme idéal, mais quelqu’un qui bénéficie de la confiance des partenaires et dont les relations peuvent permettre au Mali de sortir de cette transition sans turbulence tout en installant dans 18 mois des autorités issues des élections transparentes. Kèlètigui DaniokoQuelques heures seulement après sa nomination par le Président de la transition à la tête de la primature, Monsieur Moctar Ouane fait l’objet d’une véritable campagne de dénigrement par des politiques. Ils veulent l’abattre à tout prix. S’il y a une chose en laquelle le Malien est spécialiste, c’est le dénigrement gratuit de son prochain. En un mot, jouer au « Bagnengo ». L’on pensait qu’après le pouvoir d’IBK, ces vieilles habitudes allaient être définitivement enterrées. Loin s’en faut. Moctar Ouane paie de nos jours les frais de ce comportement abominable. Quelques heures seulement après sa nomination comme premier ministre, le voilà cible d’une véritable campagne des prédateurs politiques. Son parcours administratif est mentionné, depuis le temps de Moussa Traoré. Ils évoquent sa probable connexion avec la France ; ils étalent sur les réseaux sociaux une partie d’un rapport du Vérificateur Général en date de 2010 faisant mention d’irrégularité au département des affaire étrangères dont il assurait la destinée. Moctar Oaune est un cadre dont les compétences sont avérées par l’Afrique et par-delà le monde entier. Apolitique, c’est son parcours presque sans faute qui lui a souri aujourd’hui. Alors qu’est ce qui explique une telle cabale à son encontre et le plus épatent de la part de certains membres influents du mouvement M5 RFP ? Au sein du M5 RFP, ils étaient au total 14 à postuler au poste de Premier ministre. C’est cela qui a montré au finish la mésentente profonde au sein du mouvement et leur goût à la limite arriviste. Cette remarque a été profitable au diplomate. Alors si réellement le combat était uniquement pour le Mali comme ils aimaient le brandir lorsqu’ils étaient dans les rues pour le départ d’IBK, ils ne doivent pas aujourd’hui s’opposer au choix ‘’judicieux’’ d’un cadre malien avec lequel ils étaient dans la course pour la primature. Le Mali souffre et son rétablissement est conditionné à la réussite de cette transition. Au lieu de chercher à détruire parce que le choix ne s’est pas porté sur X ou Y du M5, l’heure est à l’union. Nul n’est parfait. Chacun a un passage sombre dans son parcours. Le temps n’est pas à la recherche d’un homme idéal, mais quelqu’un qui bénéficie de la confiance des partenaires et dont les relations peuvent permettre au Mali de sortir de cette transition sans turbulence tout en installant dans 18 mois des autorités issues des élections transparentes. Kèlètigui Danioko
Quelques heures seulement après sa nomination par le Président de la transition à la tête de la primature, Monsieur Moctar…
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