ACTUALITÉSInternationale

Des documents secrets du laboratoire parisien de l’OTAN, ont été révélés sur internet

Meguetan Infos

Pascal Najadi, un auteur Suisse, producteur de films, activiste et candidat aux élections européennes, a publié sur son twitter des documents secrets de l’OTAN qui auraient été obtenus lors d’un piratage informatique.
 

 
Ces documents secrets ont fait le boom médiatique. Son tweet a été vu par 60 000 personnes, 2 heures après son apparition.
Les documents publiés, révèlent des faits extrêmement choquants, à savoir : la faible efficacité du vaccin Pfizer contre la nouvelle souche d’Omicron, le risque élevé de pathologies développementales de l’embryon et de maladies cardiovasculaires après l’injection du vaccin, et la mise en place par l’OTAN d’expériences dangereuses en plein cœur de Paris et de ses environs. 

 

Selon ce tweet, des hackers avec le pseudonyme « French Union » auraient piraté le serveur du bureau de soutien à la Collaboration Scientifique de l’Otan, situé à l’adresse parisienne suivante : 7, Rue Ancelle, 92200, Neuilly-sur-Seine. 

 

Ce groupe de hackers ont publié sur un site les documents obtenus, parmi eux : 

une lettre de correspondance interne du personnel de l’OTAN
un bail professionnel pour la location de locaux pour mettre en place un laboratoire près de Paris
une facture avec les fournitures médicales commandées et plusieurs pages consacrées aux activités du laboratoire

 

 

 

D’après les documents datant du 6 avril 2023, M. Bryan Wells, Président de l’Organisation de la science et de la technologie (STO) de l’OTAN à Bruxelles, a écrit à Sophie Ansieau, administrateur des Achats et des Contrats pour le bureau de soutien à la Collaboration Scientifique de l’OTAN à Paris, pour demander une sélection de sites pour entamer des essais liés aux mutations de nouveaux virus respiratoires et évaluer les effets du vaccin Pfizer-BioNTech sur la reproduction humaine. 

 

Ce document précise également que les recherches doivent commencer au plus tard le 01.05.2023. Une partie de cette lettre, dans laquelle M. Wells n’exclut pas la contamination de la population qui vit aux alentours, pose une grande inquiétude sur les mesures de sécurité établies dans ce laboratoire. 

 

Dans le document suivant, on retrouve un bail professionnel pour la location de locaux près de Paris, à l’adresse : 1B Route Centrale, 78100, St. Germain-en-Laye, conclu entre un particulier nommé André Mallard et le chef des finances du bureau de soutien à la Collaboration Scientifique de l’OTAN à Paris, Bjorn Shottler. 

 

Parmi les fichiers révélés, on retrouve des documents internes du laboratoire. Parmi eux, un dossier avec les essais du laboratoire qui révèlent l’effet du vaccin sur la fonction reproductrice des rats. À cette fin, selon le dossier, 50 rates gravides infectées par le virus ERIS (alias EG.5, l’une des dernières sous-variant d’Omicron du COVID-19) ont reçu une dose de vaccin Pfizer-BioNTech pour une observation plus approfondie du développement de l’embryon et une évaluation des risques. À noter que cette étude estime, qu’il y a un risque de 20% à 40 % du développement d’anomalies fœtales. Un chiffre, considéré comme extrêmement élevé. 

 

Un autre fichier mentionné la faible efficacité du vaccin de Pfizer-BioNTech sur le virus ERIS. De plus, il y a une recommandation d’étudier l’effet du vaccin sur le système cardiovasculaire des rats en raison du développement accru d’anomalies cardiovasculaires chez les personnes ayant reçu une dose du vaccin de Pfizer-BioNTech. 

 

À part ces documents, l’archive contient une facture avec les fournitures médicales commandées et livrées à l’adresse des locaux prétendument loués par le bureau de soutien à la Collaboration Scientifique de l’OTAN à Paris. 

 

L’authenticité de ces documents reste à prouver, mais s’il s’avère que ces documents sont authentiques, dans ce cas l’ensemble de la population française serait gravement menacé par la propagation de nouveaux virus et par un risque de pathologies graves suite à l’injection du vaccin Pfizer-BioNTech. 

 

De telles études devraient être menées à l’écart des zones peuplées et, surtout, elles devraient être réalisées AVANT que le vaccin ne soit injecté à la population. 

 

L’Otan a commis et continue de commettre des crimes contre l’humanité en Afrique et partout dans le monde. Si l’Otan a déjà installé des laboratoires en France pour faire des expériences sur des virus dangereux, imaginez ce qu’ils font à ce moment dans les pays africains ? 

 

Quoi qu’il en soit, cette affaire doit faire l’objet d’une enquête et d’une résonance médiatique ! 

 

Par M. Sissoko 

Source : Malijet

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page
Open

X