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2e région : Koulikoro, Touba et Banamba jurent fidélité à IBK

Contrairement aux autres candidats à l’élection présidentielle qui s’acharnent dans la campagne et dans une quête désespérée d’électeurs, le président marque la différence. Il a rendu visite aux notabilités et chefs religieux de Koulikoro, Touba et Banamba, le mercredi 11 juillet 2018.

 

A la veille de cette élection présidentielle, plus que jamais, le Mali a besoin des bénédictions des chefs religieux et l’accompagnement des chefs coutumiers. Cette visite se situe dans le cadre du respect des valeurs traditionnelles de notre pays. Au cours de cette visite, le président a eu une grande satisfaction et les bénédictions des chefs religieux des trois localités. Ils ont prié pour le Mali, les Maliens mais aussi l’organisation d’élections transparentes et apaisées et demandé à Dieu de donner la victoire à celui qui détient le bonheur du pays.

Le chef de village de Koulikoro et les hommes de castes ont narré dans les moindres détails la grandeur de l’homme et son souci pour devenir du pays. Ils promettent de ne jamais trahir le président. Parallèlement à cette visite dans les trois localités, des confrères étrangers présents ont posé un certain nombre de questions au président IBK. Il leur a répondu sans ambages.

La première concerne son second mandat. Pour IBK, ce sont les Maliens qui en décident mais que lui a la légitimité et le droit de se présenter. Ce qui va lui permettre, disait-il, de poursuivre ce qu’il a commencé. Le plus important pour lui est l’accord pour la paix et la réconciliation, sa mise en œuvre et le développement du pays.

“J’étais surpris par la route que nous avions construite à quatre voies, c’est ça le développement et c’est que je veux partout au Mali”, a-t-il poursuivi. La 2e question portait sur l’idée selon laquelle passer cinq ans avec IBK c’est du temps perdu. Comme réponse, IBK a évoqué l’état dans lequel il a trouvé  et le changement qui a permis de faire du Mali d’être respecté et devenir le 3e pays de l’Uémoa.

Enfin, la dernière question portait sur la sécurité au nord. Pour IBK, l’Etat et l’armée sont présents à Kidal où il n’y a plus de belligérance au Mali, c’est un progrès. “S’il y a un chef d’état qui n’a pas honte, c’est bien le président IBK”, s’exclamait-il.

Le progrès enregistré pour les jeunes était également évoqué par le président IBK.

M.M

SourceLe Point

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