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Non mais de quoi se mêlent les autorités algériennes !

Le Maroc, fort de ses droits, a intégré, le 22 janvier 2020, les eaux de ses provinces sahariennes à son espace maritime par un vote unanime au Parlement marocain et salué par des applaudissements.

Ces lois, établissant la compétence juridique du Royaume du Maroc sur les eaux territoriales allant jusqu’à Lagouira à la frontière mauritanienne, visent à réactualiser l’arsenal juridique nationale, en phase avec la Souveraineté totale du Maroc sur ses frontières effectives, terrestres et maritimes.

Cette décision du Maroc a été abordée à Rabat, le 24 janvier 2020 lors de sa toute première visite à l’étranger, par la Ministre espagnole des Affaires Etrangères, Madame Aranchas Gonzalez Laya qui, suite à des entretiens avec son homologue marocain, a déclaré qu’il s’agissait d’une décision souveraine et que le Maroc avait le droit d’avoir sa propre zone économique exclusive. Elle a clairement affirmé que les deux pays parviendront à s’entendre sur les limites de leurs frontières maritimes et ce, conformément à la législation internationale en vigueur.

Cette nouvelle décision du Maroc a, comme il fallait s’y attendre, suscité l’ire des autorités algériennes, Président en tête, qui ont multiplié des communiqués confondants et incité leurs agences de presse à cracher leur venin sur le Maroc, l’Espagne et la France, aidé en cela par leurs affidés polisariens.

Il est évident que la récente ouverture de quatre Consulats étrangers, à Laâyoune et Dakhla, villes des Provinces sahariennes marocaines, a marqué le début d’une consécration diplomatique marocaine, d’autant plus que de nombreux autres pays ont fait part de leur volonté d’ouvrir à leur tour des représentations diplomatiques pour exprimer leur soutien à la marocanité du Sahara.

Sur le plan sportif, le Maroc a choisi d’accueillir, du 28 janvier au 7 février 2020, à Laayoune la CAN 2020 de futsal, après avoir été désigné par la Confédération Africaine de Football (CAF) ; décision qui a soulevé une tempête de protestations en Algérie.

Autant dire, que les responsables algériens, supposés être neutres dans le dossier du Sahara marocain, ne cessent de confirmer qu’ils sont partie prenante dans ce conflit et que l’Algérie demeure le véritable antagoniste impliqué dans le conflit du Sahara marocain qu’elle a elle-même créé.

Ceci étant, l’Algérie s’est empêtrée dans son propre piège en étant le seul pays parmi les 193 représentés à l’ONU à critiquer l’ouverture des Consulats au Sahara marocain et ne sait plus à quel Saint se vouer depuis l’adoption des lois sur le domaine maritime du Maroc et l’organisation de compétitions internationales dans les villes sahariennes.

Autant dire que les responsables algériens devront exprimer leurs positions autour de la table des négociations, à partir du moment où ils viennent de désigner leur pays comme partie directe dans le dossier du Sahara marocain.

Aujourd’hui, les responsables algériens, en plein délire, ont beau crier, mais plus personne ne leur prête main forte. Même le peuple algérien ne veut plus de ce régime qui perdure depuis 1962 et qui veut empoisonner sa population suite à son accord sur l’exploitation, très polluante et consommatrice d’eau, du gaz de schiste pour s’enrichir sur le dos Algériennes et Algériens. La honte et la trahison dans toute son horreur !

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